La leçon ci dessous est donnée par Nitro, Philosophe - épistémologue et Professeur à l'académie des sciences de Rome
Voici le resultat de bouquinage intensif que j'ai fait au cours de ma vie sur rome et le grand jules cesars pour s'en suivre son neveu Caligula ou plutot Octavius .
Mais parlons plutot des origine de romes le reste viendras peut etre plutard .
Voici un petit recit tiré d'un livre dont je trouve que c'est une vrai petite mine d'or .
Ce qui suit est retranscrit de ma propre main donc respect !
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La péninsule italienne a été peuplée à partir de l'an 1000 av. J-C par des peuples itinérants qui n'ensevelissaient pas leurs morts mais qui les incinéraient.
Ces peuples savaient se servir du fer et connaissaient l'agriculture et l'élevage.
Au VIIIe siécle apparait brusquement en Toscane une civilisation brillante qui connaissait, non seulement l'agriculture, mais aussi l'architecture et la navigation : la civilisation des Étrusques.
Dans la vallée basse du Tibre, au milieu d'une plaine marécageuse souvent innondée par les débordement du fleuve, trois tribus latines unirent leurs villages. De cette union naissa Rome en 753 av. J-C. Ce n'était à l'origine qu'une petite bourgade dont la fortune provenait de sa situation stratègique.
En effet, l'estuaire du Tibre attirait les marchands grecs et orientaux (phéniciens principalement), et le pont Sublicius, qui permettait de franchir le fleuve, attirait les pasteurs qui cherchaient une voie de transhumance.
Dès l'origine, les habitants de Rome étaient divisés en 2 ordres : les patriciens et les plébéiens (ou la plèbe).
On était patricien quand on appartenait à une gens, c'est à dire à une famille dont tous les membres descendaient d'un ancêtre commun. Ils portaient tous le même nom de famile (Julius, Métellus, Aurélius etc...). Ils avaient pour chef un Pater familias, l'homme le plus âgé de la branche aînée. Dans la Rome primitive, il y avait quelques 300 familles de ce type.
Les patriciens possédaient alors presque toutes les richesses de Rome, à savoir les terres cultivables et les troupeaux. Les hommes libres, qui ne possédaient rien mais qui avaient su s'attirer la faveur d'un Pater, faisaient aussi partie de la gens. Ils avaient le titre de client et le chef de la gens, le ¨patron¨, leur devait aide et assistance. Ils étaient les seuls a possèder des droits civiques (droit de vote, droit d'élire le roi, droit d'être sénateur) et donc étaient les seuls citoyens romains.
Au dessous des patriciens vivaient les plébéiens, une foule d'hommes de plus en plus nombreux qui ne faisaient partie d'aucune gens (refugiés, anciens esclaves en fuite, aventuriers, affranchis, clients dont la famille patronne était éteinte, étrangers).
Ils n'avaient aucun droit civique et ne pouvaient pas s'unir à des patriciens, le mariage étant interdit entre membres des deux ordres.